“La soprano suisse (d’origine sicilienne) Laurène Paternò est une Drusilla délicieusement fruitée et le sort qui lui en est réservé n’en paraît que plus cruel.”
ClassiqueNews (Emmanuel Andrieu), 14 avril 2024
“On retiendra l’authentique grandeur de la Drusilla de Laurène Paternò, innocente, fraîche, touchante.”
Forum Opéra (Yvan Beuvard), 13 avril 2024
“La Fortune et surtout la Drusilla de la soprano Laurène Paternò mobilise un timbre charnu, ample et empreint de fraîcheur.”
Olyrix (Florence Lethurgez), 13 avril 2024
“Laurène Paternò livre une Drusilla frémissante d’amour, après son entrée en Fortune”
Classicagenda (Gilles Charlassier), 13 avril 2024
“Belcore gets the consolation of a kiss from Laurène Paternò who gave us one of the finest Giannettas I have seen, lively, agile and well-projected.”
Bachtrack (Dominic Lowe), 6 juin 2023
“…moins impressionnante vocalement que sa sœur Clorinda, campée par la soprano Laurène Paternò, qui en impose par sa puissance et son énergie débordante.”
Olyrix (Olivier Delaunay), 22 mars 2023
“Un autre des atouts de cette production, c’est la présence de Laurène Paternò en Despina – Deus ex machina. Cette toute jeune et jolie cantatrice franco-italienne crée un personnage inénarrable, entre Marie-Pierre Casey et Janet Fischer, à cent lieues des insupportables soubrettes habituelles. La silhouette est inoubliable, les attitudes drôles, les mimiques impayables, bref c’est la découverte d’un nouveau talent, susceptible de jouer toute une gamme de rôles : bête de scène, elle a prouvé pendant toute la représentation qu’elle était comédienne tout autant que chanteuse. La voix est belle et de bonne puissance, la technique sûre, l’engagement total, une personnalité dont on reparlera, promise à une belle carrière.”
Forum Opéra (Jean-Marcel Humbert), 31 mars 2022
“Laurène Paternò, que nous avons déjà entendue à la fin de l’année dernière dans Les Chevaliers de la Table Ronde d’Hervé à Avignon, confirme nos impressions. Elle incarne profondément dans le rôle d’une Despina espiègle, jouant parfois comme un Gavroche. Son agilité vocale est indéniable, avec des facilités dans les aigus tout comme dans le médium.”
Toute la Culture (Victoria Okada), 15 mars 2022
“La troisième fille de ce plateau vif et lumineux est une découverte: appelée in extremis pour remplacer une collègue enceinte, la Despina de Laurène Paternò accroche aussitôt la lumière par une présence débordante autant que par un chant percutant et sans complexe. À suivre!”
Le Figaro (Christian Merlin), 11 mars 2022
“Campant le rôle de la méchante Mélusine, la soprano Laurène Paternò est malicieuse et audacieuse. De sa voix fine mais très assurée, ses lignes se dévoilent éclatantes.”
Olyrix (Marjorie Cabrol), 3 janvier 2022
“Laurène Paternò se distingue particulièrement dans le rôle de Mélusine
Le soir de la première, le 29 décembre, les chanteuses se montrent plus aguerries que les chanteurs. Parmi elles, Laurène Paternò se distingue particulièrement dans le rôle de Mélusine. Ses agilités vont de pair avec son élancé lyrique qui fait entrevoir sans équivoque son solide soutien technique. Son timbre agréable est toujours maintenu dans une couleur constante, et ce, dans toutes les tessitures. Par ailleurs, sa présence scénique, à la hauteur de sa présence vocale, illumine littéralement la scène. Bref, elle a tous les atouts pour briller ! On attend donc avec impatience sa prochaine apparition, au mois de mars 2022, en Despina dans Cosi fan tutte de Mozart à Paris, au Théâtre des Champs-Elysées, aux côtés de Vannina Santoni, Gaëlle Arquez, Cyrille Dubois, Florian Sempey et Laurent Naouri.”
Toute la culture (Victoria Okada), 1er janvier 2022
“[…] ce sont surtout les femmes qui sortent du lot.
Ainsi de la lumineuse Laurène Paternò (Mélusine), qui donne des frissons à force d’aigus aussi faciles qu’aériens”
ConcertoNet (Florent Coudeyrat), 29 décembre 2021
“Sur scène, Laurène Paternò livre deux lumineuses prestations, très éloignées l’une de l’autre. […] Dotée d’une technique maîtrisée, portée par sa voix souple et à l’aise dans l’aigu, elle atteint les dernières notes tel un ange qui s’échappe. Et laisse cette voix cristalline doucement s’apaiser.”
24 heures, 18 octobre 2019
“Laurène Paternò est Mélusine : voilà une passionnante jeune soprano, puissante, agile, pleine d’aisance, sans parler de ses qualités théâtrales.”
Opéra Magazine, septembre 2019
“C’est cependant la Mélusine de Laurène Paternò qui retient le plus l’attention, avec son spectaculaire registre aigu qui la destine à être une remarquable Reine de la Nuit.”
www.opera-online.com, 10 juillet 2019
“On a surtout apprécié le soprano aigu de Laurène Paternò (Mélusine), pointu, sûr, ses solos splendides et ses vocalises légères.”
La Liberté, 18 juin 2019
“Et plusieurs voix sortent effectivement du lot dans cette cuvée 2019. On distinguera ainsi, de manière non exhaustive, le soprano colorature ductile et lumineux de Laurène Paternò, qui campe une Mélusine merveilleusement survoltée”
Le Courrier, 20 juin 2019
” les voix ne sont pas en toc, en particulier […] l’hystérique Mélusine de Laurène Paternò”
24heures, 12 juin 2019